Les vignobles wallons (gratuitement) en poche

 

Lancée en août dernier, l’application digitale des Vignerons de Wallonie est téléchargeable sur votre smartphone depuis l’App Store (iOS) ou Google Play Store (Android). Elle vous permet de repérer les vignobles autour de vous lors de vos promenades ou plus simplement de retrouver la fameuse bouteille que vous avez dégustée récemment et dont vous aimeriez découvrir l’auteur.

Entièrement gratuite, cette app’ vient d’être enrichie de nouvelles présentations de propriétés. Pour chacune d’elles, découvrez les infos essentielles (coordonnées et heures d’ouverture) mais aussi leur philosophie, leur histoire ainsi que les différents points de vente des vins.

A télécharger sur App’Store ou Play Store

Du cidre aromatisé aux raisins à Herve

 

N’ayant pu récolter de grandes quantités de raisins l’an dernier, la coopérative Vin du Pays de Herve a cherché une alternative.

« L’idée de produire du cidre avec les pommes de notre région s’est imposée, explique Michel Schoonbroodt. Nous les avons fait presser à moins de 10 km de notre chai. Viticulteurs dans l’âme, nous avons ajouté un peu de raisin au jus de pomme obtenu. »

Ce nouveau produit a été baptisé du nom du « Parallèle 50 » qui traverse le plateau herbager du pays de Herve. Il est vendu sur le site de la coopérative et dans quelques magasins locaux également au prix de 8.5€.

En vente dans les magasins locaux et sur le site de la coopérative: ICI.

Travaux et plantations en 2022

Cette année sera certainement marquée par la construction de plusieurs chais. Modestes ou ambitieux, ils sont plusieurs à franchir cette étape dans les prochaines semaines.

Au Domaine des Marnières (Warsage) par exemple, Benoît Heggen termine l’aménagement de son chai construit fin de l’année dernière mais les matériaux se font attendre. Deux hectares seront tout prochainement plantés avec du Chardonnay, du Zweigelt, du Pinot gris et deux Pinots résistants italiens, Kors et Kersus.

 

Les vignes et le nouveau chai du vignoble d’Annevoie
Nouveau logo aussi

Dans le Namurois, au Château d’Annevoie où Léopold Loumaye et Damien Briard ont planté 11,5ha de vignes en 2020 (4ha de Johanniter et de Sauvignac, 1.5ha de Cabaret noir, 1ha de Solaris et 1ha de Cabernet blanc), les cuves sont déjà installées, un nouveau logo créé et des essais effectués sur quelques dizaines de litres de vin rouge qui ne seront sans doute pas commercialisés. Un futur grand à suivre.

 

Des travaux ambitieux pour le Chenoy à l’approche de ses 20 ans

A Emines, le Domaine du Chenoy, qui fêtera ses 20 ans en 2023, continue sa mue. Pierre-Marie et Jean-Bernard Despatures sont en pleins travaux de construction de nouveaux bâtiments et de rénovation de l’existant : nouveau chai à barriques, nouvelle cave de dégustation, nouvelle cave de vieillissement, nouveau bâtiment de stockage, nouvelle terrasse… Et tout cela sera terminé avant la fin de l’année, assurent les deux frères qui ne prévoient toutefois pas de plantation de nouvelles parcelles en 2022.

 

Dans le Hainaut, le Seigneur Ruffus a lui aussi décidé de se parer de nouveaux habits et d’élargir ses capacités de stockage et de production. Une nouvelle cave, semi-enterrée, va en effet être creusée dans la craie et permettra à la famille Leroy de doubler sa capacité de stockage. Le temps de mise sur lattes des bouteilles sera encore prolongé et une nouvelle cuvée « réserve » pourrait voir le jour en 2024.

La première parcelle ayant été plantée au printemps 2002, le Vignoble des Agaises fête donc logiquement ses 20 ans en 2022! Un livre de 360 pages sort fin avril et retracera la saga de ce projet un peu fou qui a littéralement boosté la production des effervescents en Belgique. Et ce n’est pas terminé, car 4,5 hectares seront bientôt plantés, portant ainsi la superficie de Ruffus à 35 hectares !

Au chapitre des prochains événements, signalons l’organisation de « dîners romantiques » pour la Saint-Valentin, la sortie de la cuvée « Ruffus Grand Millésime 2018 » (42 mois sur lattes) à 4000 exemplaires seulement, des week-ends découvertes durant tout le mois de juin et l’installation de la désormais traditionnelle terrasse d’été en juillet et août.

A Ostiches, au Domaine Degavre, Adrien se réjouit d’avoir pu faire une récolte 2021 acceptable malgré l’année difficile, mais les premières bouteilles ne sont pas prévues avant mi-2023.

 

Changement de visage pour les bâtiments du Domaine W

Plus au nord, dans le Brabant wallon, le Domaine W prépare lui aussi de gros aménagements, dans le chai mais pas uniquement. Sont notamment prévus un chai à barriques pour accueillir plus de foudres et de barriques, un agrandissement de la cave de vieillissement pour accueillir 200.000 bouteilles, mais aussi des locaux pour les équipes (5 temps plein), une terrasse panoramique sur les vignes et un magasin avec vue sur les barriques et le pressoir.

« L’objectif principal, se réjouissent Dimitri et Sophie, est de pérenniser le domaine en visant toujours plus de qualité pour nos futures cuvées. » Le début des travaux est prévu à la fin de cette année.

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La viticulture en Wallonie, émergence d’un écosystème plus vaste

Depuis plusieurs années, de nouveaux métiers liés au développement de la viticulture wallonne émergent dans des domaines aussi variés que l’analyse oenologique, la tonnellerie mais aussi dans les cosmétiques qui utilisent notamment les polyphénols du raisin et du vin.

Les plus anciennes allusions aux propriétés médicamenteuses du vin remontent à quelques millénaires avant notre ère. « Aux yeux des Grecs, rappelle le Dr Maury dans son livre “Soignez-vous par le vin” (Ed. Universitaires, Paris, 1983), le vin, symbole de la pérennité du genre humain aide celui qui en use à se maintenir dans le sillon de la sagesse » quand il n’est pas assimilé à un « remède à l’austérité de la vieillesse ».

CC-BY-SA-4.0- Frabkie Fougantin

Plus sérieusement, il est démontré de longue date que les polyphénols, présents notamment dans la peau et les pépins du raisin à peau rouge mais aussi dans de nombreux fruits et légumes, protégeraient de certaines maladies grâce à leurs propriétés antioxydantes très importantes.

Les polyphénols sont classés en flavonoïdes (responsables de la couleur des fruits et légumes) ou non-flavonoïdes (acides phénoliques…). Le plus réputé est sans conteste le resvératrol.

Une molécule de resvératrol – Creative Commons Jynto & Ben Mills

Son nom viendrait du vérâtre blanc, une plante emblématique des alpages utilisée au Moyen âge pour empoisonner les gens, d’où il a été extrait pour la première fois en 1939. « La découverte du resvératrol dans la pellicule du raisin date de 1976, mais il a fallu attendre 16 ans pour qu’en 1992 Siemann et Creasy l’identifient finalement dans le vin » (source : bioactualites.ch).

A la même époque, le médecin et chercheur Michel de Lorgeril « montre qu’une consommation modérée de vin peut protéger de la maladie coronarienne » tandis que, l’année suivante, E.N. Franken « démontre que c’est le resvératrol du vin qui, en inhibant l’oxydation du LDL (le mauvais cholestérol), doit être responsable de son effet cardioprotecteur. »

La fameuse théorie du « paradoxe français » a trouvé là de quoi apporter de l’eau à son moulin… Les effets bénéfiques du vin feront alors l’objet de nombreuses recherches, dans un sens ou dans l’autre.

Vinothérapie

Quoiqu’il en soit, le resvératrol est présent dans les pépins, la peau et les queues des grains de raisin. Il a également été isolé dans les fruits frais et secs, et dans certains de ses dérivés, comme le jus de raisin et les vins où sa concentration dépend du cépage, les vins rouges ayant une teneur en resvératrol plus élevée que les vins blancs.

Le Château Smith Haut Lafitte, non loin de Bordeaux, à l’origine des premiers produits de Caudalie (photo: Vanel)

En 1995, dans les vignes du Château Smith Haut Lafitte à Bordeaux, grâce aux recherches menées par le Professeur Vercauteren, Mathilde Thomas combine resvératrol et acide hyaluronique et lance Caudalie, « la première marque à proposer en cosmétique des polyphénols de pépins de raisin stabilisés ».

Photo: CC – piperguizmo

En effet, peut-on lire sur le site Top Santé, « s’il est un domaine où la vigne peut être “consommée” sans modération, c’est bien en beauté. En plus d’être anti-âge, elle préserve l’hydratation, l’éclat de la peau et prévient les taches pigmentaires. On doit multiples bienfaits à différents actifs naturels cachés au cœur du raisin ».

Ce premier produit sera suivi d’une vaste gamme de cosmétiques et d’un programme de soins en « vinothérapie » (un terme déposé) pratiqués dans les spas de la marque Caudalie, notamment.

D’autres laboratoires se lancent dans le créneau, comme « L’Or de Vie » de Dior à base de marc de raisin de Château d’Yquem, ou « Vinésime » en Bourgogne qui combine les polyphénols antioxydants de Pinot noir et l’extrait de bourgeon de cassis pour réoxygéner et régénérer les cellules de la peau. Tout un programme.

Et en Belgique

D’autres initiatives voient le jour, comme celle d’Anne-Sophie Charle à Quévy en décembre dernier après deux années de recherche.

Haute fonctionnaire à Mons pendant une vingtaine d’années, celle-ci décide il y a deux ans de changer de cap et de développer une gamme de cosmétiques en récupérant les résidus du vignoble. Epouse de Hubert Ewbank, grand patron du Domaine du Chant d’Eole, elle trouve aisément la matière première…

© Maison Eole

Convaincue que la vigne recèle des molécules non encore exploitées et désireuse d’identifier « LE » polyphénol anti-oxydant jamais exploité dans le secteur, Anne-Sophie Charle a relevé un maximum d’échantillons issus du vignoble ou du processus de vinification (craie du sol, sarments, pépins de raisins, lies, précipitations tartriques dans les cuves, ferments de tirage, etc.) et en a confié l’analyse à deux centres de recherche en Wallonie capables d’extraire les molécules du tanin végétal: le Celabor à Herve, qui a un département d’extraction agro-alimentaire et le CeREF, département biochimiste de la Haute Ecole Louvain en Hainaut, chargés tous deux de traduire les résultats en « applicatif cosmétique ».

Une gamme pour femmes mais aussi pour hommes… © Maison Eole

« J’ai activé les chèques technologiques de la Région wallonne, confiait-elle en décembre lors de sa conférence de presse de lancement, pour pouvoir financer ces contrats de recherche, qui ont démarré tout de suite et qui sont toujours en cours. 

Enfin, pour « formuler » tout cela, càd mettre tous ces ingrédients dans une recette, j’ai fait appel à Copaïba à Spa, un laboratoire belge référent pour l’élaboration de soins naturels. Les équipes ont réussi à trouver dans les sarments une molécule, un polyphénol à 3 cycles, excessivement innovant qui, à notre connaissance, jamais été utilisé dans les cosmétiques européens : il est antioxydant, travaille sur le collagène de la peau et lutte contre le stress oxydatif, contre l’inflammation de la peau.

Cela me permet de développer un concept inédit qui s’appelle Wine Extract3 qui a donné naissance à une gamme certifiée naturelle et même vegan, puisque aucun produit d’origine animale n’est utilisé. » (Plus de détails sur maison-eole.com)

D’autres emplois également

Cette créativité wallonne se retrouve également dans d’autres domaines en lien avec la viticulture où certains services connaissent un développement important.

Mentionnons par exemple les services d’analyse de sols dans les différentes provinces, comme le Centre provincial de Formation à l’Agriculture et à la Ruralité à Waremme ou le CPAR à La Hulpe, ou les laboratoires de ULiège à Gembloux et de l’UCLouvain à Louvain-la-Neuve et à Bastogne.

© Barwal

Au chapitre des nouveautés, notons aussi le lancement de Barwal par Didier Mattivi et Hugues de Pra en septembre 2020 qui, en partenariat avec la Tonnellerie de Champagne, fabrique des fûts de chêne provenant des forêts wallonnes. Leur ambition: construire une tonnellerie d’ici peu en province de Namur.

Un nouveau laboratoire d’analyses des vins, AOC Vallée mosane, a également créé à Andenne par Michel d’Harveng et Véronique Lidby en collaboration avec la Société Horticole et Viticole de Huy.

Enfin, à Ath, le CARAH propose un service de recherche et de soutien à la profession, tandis que les centres de l’IFAPME à Perwez et à Villers-le-Bouillet ont mis en place une formation de chef d’entreprise viti-vinicole et, depuis septembre 2020, une nouvelle formation d’ouvrier viticole. Près de 100 personnes sont engagées dans ces filières, elles sont l’avenir de la viticulture wallonne !

Marc Vanel

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Les vignerons belges sont-ils vraiment timbrés? par Marc Vanel

 

Bpost a sorti fin octobre une série inédite de timbres autour de la « Viticulture en Belgique ». Si l’initiative est louable, elle est malheureusement incomplète…

« Ces dernières années, publie bpost sur son site, la production viticole belge a fortement augmenté. Notre pays excelle notamment dans les vins blancs et les vins mousseux. Il y a cinq appellations importantes : le Hageland, la Hesbaye, le Heuvelland, les Côtes de Sambre et Meuse, le Crémant de Wallonie. »

Spécialisée dans les éditions spéciales de timbres en tous genre, Bpost a commandé à un bureau de graphisme la création de cinq timbres sur chacune de ces appellations.

Si l’idée est originale et à soutenir, on peut toutefois regretter que la moitié des appellations aient été oubliées dans l’opération : « Maasvallei Limburg », « Vin du Pays des Jardins de Wallonie » (qui devrait un jour être simplifiée en « vin de Wallonie ») et son équivalent flamand « Vlaamse Landwijn », ainsi que  les deux appellations destinées aux vins mousseux de qualité, une en Flandre et une en Wallonie.

Pour les 5 AOP retenues, les illustrations ont été réalisées par la graphiste Leen Depooter. Originaire de Ninove et formée à Gand, elle dirige l’agence graphique Quod à Gand, elle est également auteure de plusieurs livres pour enfants.

 

Dans cette série de cinq timbres sur la viticulture qui trouve son origine dans un appel à idées, seuls quelques éléments graphiques très discrets évoquent la viticulture et un seul reprend la mention d’AOP. Sympa, mais peut mieux faire, comme on dit…

Émis le 25 octobre dernier, le feuillet de 5 timbres (en forme de feuille de vigne – c’est le plus réussi) est en vente au prix de 9.25€ sur le site de bpost, les frais de port sont gratuits à partir de 25 euros.

Enfin, une édition spéciale, « First Day Sheet » à 6.95€, est pourvue d’une oblitération du premier jour et présente au verso, un texte bilingue sur le thème, ainsi que toutes les caractéristiques techniques de l’émission de timbre-poste.

Les timbres peuvent servir d’affranchissement de tous vos envois vers l’Europe, pour les formats normalisés jusqu’à 50g.

Marc Vanel, 9/12/21

 

Vin de Liège lève 1 million d’€ en une semaine !

 

 

Aujourd’hui en plein essor, la coopérative liégeoise élargit son capital et recrute 900 nouveaux coopérateurs en quelques jours à peine !

Planté en 2010 sur plusieurs sites autour d’Heure-le-Romain, le vignoble de la coopérative Vin de Liège compte aujourd’hui 16,3ha certifiés bio depuis le début, c’est aussi le 3e plus important vignoble wallon et le plus grand vignoble de variétés interspécifiques. Blancs, rosés, rouges et effervescents ont conquis un remarquable marché en quelques années et leur qualité est plus que reconnue.

Souvent mise en exergue, la création de VDL est exemplaire, car la coopérative rassemble des partenaires privés (plus de 2300) et  publics (notamment trois fonds d’investissement wallons).

Souhaitant augmenter leurs capacités de production de 40% environ, les coopérateurs ont annoncé le 30 novembre dernier une augmentation de capital de 1.050.000 d’€ afin d’investir dans de nouveaux moyens techniques performants et ont proposé l’acquisition de 2100 parts ordinaires de 500 euros.

Une semaine plus tard, le président Fabrice Colignon est fier d’annoncer que 958.000 euros ont déjà été apportés par plus de 900 citoyens. La coopérative s’était pourtant donné l’objectif de lever 1.050.000€ en … un an.

 

© Vin de Liège

Quelques parts sont donc encore disponibles, il est même possible de s’inscrire en ligne. Tous les détails: ICI.

Marc Vanel, 7/12/21

Maison Eole main dans la main avec le Chant d’Eole, par Marc Vanel

 

Ce samedi 4 décembre a été lancée “Maison Éole”, la première marque de cosmétiques issus de vignes belges par Anne-Sophie Charle qui propose une gamme de seize produits de beauté pour femmes… et pour hommes.

Ancienne cheffe de cabinet de l’ancien bourgmestre de Mons Elio Di Rupo, Anne-Sophie Charle a exercé diverses fonctions dans l’administration publique pendant une vingtaine d’années avant de se lancer dans l’aventure cosmétique début 2020.

« Lors du premier confinement, j’ai ressenti une forme de remise en question professionnelle. Passionnée à la fois par le monde de la cosmétique – j’ai une maman pharmacienne – et par l’activité du vignoble du Chant d’Eole de mon mari – Hubert Ewbank de Wespin, j’avais depuis quelque temps le rêve de pouvoir développer une gamme de cosmétiques en récupérant des résidus du vignoble. Je me suis réveillée un matin en me disant que c’était aujourd’hui que je devais le faire, j’ai demandé une pause-carrière et je me suis lancée. »

D’emblée, Anne-Sophie Charle met la barre très haut et se fixe trois conditions : le produit doit être entièrement élaboré en Belgique, les principes actifs des cosmétiques doivent avoir un concept scientifique exclusif et inédit, et, s’inscrivant dans une économie circulaire, le packaging  doit pouvoir être réutilisés. Une fois que tous ces éléments ont été réunis, la société Comanso a été constituée et le projet lancé…..

Tous les produits sont dès à présent disponibles dans certaines pharmacies et, fait original, chez les cavistes qui vendent habituellement les bulles du Domaine du Chant d’Eole. Egalement en vente sur place au domaine ou sur l’e-shop maisoneole.com

Marc Vanel, 4/12/21

Vin de Liège s’agrandit….Avis aux amateurs!

VIN DE LIEGE S’AGRANDIT

 

Il est désormait possible de participer à l’aventure en devenant coopérateur.

Vin de Liège

POURQUOI UNE AUGMENTATION DE CAPITAL?

Aujourd’hui Vin de Liège produit des vins BIO blancs, rosés, rouges et effervescents qui sont vendus au chai et via un réseau de cavistes professionnels.

La qualité des vins est déjà reconnue. Ainsi, certains vins se retrouvent déjà sur les tables de grands restaurants étoilés et sont régulièrement récompensés lors de concours. La demande croissante pour nos vins est telle que nous ne pouvons la contenter.

Dans une volonté de continuer à développer la coopérative et répondre à la demande, nous souhaitons agrandir nos bâtiments et implanter de nouvelles parcelles.

Pour continuer à produire des vins de qualité, notamment en vin rouge, nous voulons investir dans des moyens techniques performants.

Dès lors, afin de pouvoir financer ces nouveaux développements, nous procédons à une augmentation de capital de 1.050.000€ et proposons l’acquisition de 2100 parts ordinaires de 500€.

 

Sept bonnes raisons de devenir coopérateur

  • Être associé à la production d’un vin de qualité, respectueux de l’environnement.
  • Soutenir un projet économique à fortes valeurs humaines, sociales et environnementales.
  • Participer au redéploiement de la vigne et devenir acteur majeur dans le domaine viticole en Belgique.
  • Obtenir un juste retour sur investissement.
  • Contribuer à la réinsertion sociale de personnes en difficulté.
  • Bénéficier d’un accès privilégié à nos vins.

Être coopérateur de Vin de Liège c’est aussi :

  • L’occasion de découvrir ou d’approcher le monde du vin,
  • De participer, selon ses envies et ses disponibilités aux travaux du vignoble et aux vendanges
  • Investir et pouvoir s’investir dans un projet local, citoyen et concret

 

Vin de Liège

 

Informations pratiques

La part de coopérateur s’élève à 500 euros.

Pour participer à ce projet et souscrire au capital de la société Vin de Liège:

 

 

Tout investissement comporte un risque, notamment celui de perte totale ou partielle du montant investit.

L’instrument offert est une action.
Note d’information déposée auprès de la FSMA : http://www.fsma.be/sites/default/files/prospectus/files/2021/2021-%2528123%2529-FR-SCS20210577-A01-B01-C21-NP-CD17_11.pdf

En cas de plainte, vous pouvez vous adresser à Vin de Liège – rue fragnay, 64 – 4682 Heure-Le-Romain.

Si vous n’obtenez pas satisfaction, contactez l’Ombudsman en conflits financiers, Bld Roi Albert II 8 bte 1, 1000 Bruxelles (www.ombudsfin.be).

Vin de Liège

 

Vin de LiègeVin de Liège, Rue Fragnay 64, 4682 Heure-Le-Romain, Belgique
www.vindeliege.be